Pas la peine de chercher à comprendre...
Son cœur n’est plus qu’un tas de vieilles cendres humides,
Balayées par le vent dans l’immense vide.
Le tourbillon glacial de la vie,
A éteint ce feu maudit.
A vouloir trop donner, à vouloir trop bien faire
Il a rejoint les ombres, il a rejoint l’Enfer.
Ses pleurs, ses cris n’intéressent plus personne,
Comme un enfant laissé seul par sa mère,
Il pleure et tremble d’un air monotone,
En attendant la mort avec un goût amer...